Nouvelle Littéraire
Revue Saint Ambroise n47, avril 2021
La Main Capricieuse
Critique ‘Des Livres Et Nous’
La révélation littéraire de l'année!
Il y mêle l'horreur totalitaire avec l'humour, la musique des mots avec la force du verbe, la fougue littéraire avec la concision d'un fabuliste.
Vous voulez savoir à quoi je pensais pendant qu’on me tirait le portrait?
Songeais-je au prochain Prix Goncourt? Rêvassais-je à la perspective réjouissante d’une fin du monde imminente? Ou bien me demandais-je qui, du Professeur Raoult ou de Salvador Dalì, avait le plus d’humilité ou de génie?
Rien de tout ceci.
Je ne pensais à personne de précis; nul humble, nul génie… puisque voyez-vous je ne pensais qu’à vous.
A vous, mes amis, et à comment vous donner envie de devenir mes premiers lecteurs dans le sillage de ma récente mue littéraire.
L’encre de l’écrivain qui coulait dans mes veines a fini par se coucher sur le papier, façonnant mots, style et mythes en un jaillissement de l’esprit impertinent qui me caractèrise, qui cogne, tacle et tache… donnant ainsi naissance à ma toute première nouvelle littéraire, publiée dès aujourd’hui dans la plus prestigieuse des revues, en compagnie d’une jolie sélection d’écrivains.
Cette nouvelle saisissante et ravageuse s’intitule “𝗟𝗮 𝗠𝗮𝗶𝗻 𝗖𝗮𝗽𝗿𝗶𝗰𝗶𝗲𝘂𝘀𝗲” (éditions Rue Saint Ambroise).
Écrite sous la forme d’une fable dystopique, elle propose une satire de l’esprit conformiste qui s’invétère, de ses horizons noirs et absurdes, et du destin taquin de l’humanité.
Si vous me faites l’amitié de la lire, j’espère que vous me ferez l’honneur d’en être éblouis et émerveillés au plus profond de votre âme, et rien de moins.
La grande littérature ne se contente pas de divertir le lecteur; elle l’interpelle, l’émeut, le bouscule, fait vaciller ses certitudes, éclaire ses doutes, forge son humanité, enflamme ses passions... vous comprendrez que je ne suis donc pas là pour rigoler.
Frottez-vous à la lecture de ma “Main Capricieuse” en la commandant:
à l’ancienne, chez votre libraire préféré(e) (demandez la 𝗿𝗲𝘃𝘂𝗲 𝗥𝘂𝗲 𝗦𝗮𝗶𝗻𝘁 𝗔𝗺𝗯𝗿𝗼𝗶𝘀𝗲 𝗻º𝟰𝟳)
ou sur le site de l’éditeur
Ne voulant exclure personne, nous avons également pensé aux nombreux illétrés parmi vous… qui, réjouissez-vous, pourrez aussi écouter ma nouvelle en audio, lue et contée par l’excellent comédien Philippe Crubezy.
Voilà, je n’ai plus d’arguments et vous n’avez plus d’excuses.
LTT
@ 𝐽𝑒 𝑟𝑒𝑚𝑒𝑟𝑐𝑖𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑒𝑛𝑡ℎ𝑜𝑢𝑠𝑖𝑎𝑠𝑚𝑒 𝑚𝑜𝑛 𝑒́𝑑𝑖𝑡𝑒𝑢𝑟, 𝑙’𝑒́𝑐𝑟𝑖𝑣𝑎𝑖𝑛 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐𝑜-𝑐ℎ𝑖𝑙𝑖𝑒𝑛 𝐵𝑒𝑟𝑛𝑎𝑟𝑑𝑜 𝑇𝑜𝑟𝑜 𝑞𝑢𝑖 𝑎 𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑚𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑎𝑦𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑢 𝑓𝑢𝑖𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑖𝑐𝑡𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑃𝑖𝑛𝑜𝑐ℎ𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑙’𝑎̈𝑔𝑒 𝑑𝑒 17 𝑎𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑢𝑡 𝑙’𝑖𝑛𝑠𝑜𝑙𝑒𝑛𝑡 𝑡𝑎𝑙𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑚𝑎𝑡𝑐ℎ 𝑛𝑢𝑙 𝑎𝑢𝑥 𝑒́𝑐ℎ𝑒𝑐𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝐾𝑎𝑠𝑝𝑎𝑟𝑜𝑣 𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝𝑖𝑜𝑛𝑛𝑎𝑡 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑒 1980.
@ 𝐸𝑡 𝑗𝑒 𝑓𝑒́𝑙𝑖𝑐𝑖𝑡𝑒 𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑐𝑒́𝑡𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑝ℎ𝑜𝑡𝑜𝑔𝑟𝑎𝑝ℎ𝑒 𝑇ℎ𝑜𝑚𝑎𝑠 𝐵𝑟𝑎𝑢𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑠𝑢 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑠𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑝ℎ𝑜𝑡𝑜 𝑖𝑛𝑠𝑝𝑖𝑟𝑒́𝑒 𝑖𝑛𝑐𝑎𝑟𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎𝑢𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑙’𝑒𝑠𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑚𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒𝑠𝑡𝑖𝑛 𝑙𝑖𝑡𝑡𝑒́𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑖, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑒𝑛 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑣𝑎𝑖𝑛𝑐𝑢𝑠 𝑀𝑖𝑙𝑎𝑛 𝐾𝑢𝑛𝑑𝑒𝑟𝑎 𝑒𝑡 𝑚𝑎 𝑚𝑒̀𝑟𝑒, 𝑠’𝑜𝑢𝑣𝑟𝑒 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑎̀ 𝑚𝑜𝑖.
𝘱𝘩𝘰𝘵𝘰 ©𝘛𝘩𝘰𝘮𝘢𝘴 𝘉𝘳𝘢𝘶𝘵